mardi 25 octobre 2011

Internet explorer, CSS et affichage des hyperliens

La manipulation de l'affichage des hyperliens avec une feuille de style et Firefox est assez facile.
Le net regorge de documentation et il est facile d'obtenir le résultat voulu (en l’occurrence des liens avec ,par défaut, un format visuel particulier) .

Par contre, comme c'est souvent le cas, les choses se corsent lorsqu'il s'agit d' Internet Explorer.
En effet, ce dernier est beaucoup plus pointilleux et l'on arrive vite à s'arracher les cheveux.

Dans pareille circonstance, trouver un lien et des exemple utiles et pratique sont toujours les bienvenus.
Je vous propose donc de jeter un oeil sur l'article www.echoecho.com/csslinks.htm

Ce qui produit la déclaration de style suivant:
    A.gglink:link {color: #11119E; text-decoration: underline}
    A.gglink:visited {color: #11119E; text-decoration: underline}
    A.gglink:active {color: #11119E; text-decoration: none}
    A.gglink:hover {color: #11119E; font-weight:bold; }  

jeudi 13 octobre 2011

Leadership ou Les bonnes pratiques d'un management efficace

Le management est avant tout une question de leadership.
Le manager est un leader, il est celui qui se retrouve à la tête de son équipe et la guide.
Pour s'aider, il aura le choix du bâton ou de la carotte... quoiqu'il existe une race de manager plus respectueux de ses collaborateurs et plus investit dans sa mission de guide.
De celui-là, on dira qu'il a du leadership.
Ce manager sera un leader.
Quand il fera face aux difficultés et montera au front, il ne sera pas seul.
Ce leader sera suivi de ses collaborateurs non pas par obligation mais parce que ses collaborateurs et lui auront établit une relation de confiance et respect mutuel... ils seront solidaires.

Le leadership c'est...
Le leadership est la capacité de gérer et de développer une équipe. Il repose sur le savoir-faire qui pourrait se décliner de la sorte:
  • conviction que l'apprentissage permanent est préférable à une attitude fondée sur l'idée que tout est sous contrôle ;
  • capacité de développer l'estime de soi chez les autres ;
  • volonté de poser des questions, d'accepter ses faiblesses, et d'écouter les réponses ;
  • capacité d'apprécier les autres et de cultiver,une sensibilité orienté vers autrui ;
  • capacité et désir de développer le leadership chez ses collaborateurs ;
  • capacité de gérer la critique et d'écouter les problèmes des autres ;
  • capacité de développer une vision pour le futur ;
  • privilégier une approche ancrée sur des valeurs qui nourrissent l'innovation et les initiatives ;
  • capacité de communiquer à tout niveau ;
  • être à même d'assurer l'accompagnement, le conseil et le coaching de ses collaborateurs.
De tels manager existent, j'en ai déjà rencontré deux durant ma carrière.

Sources:
  1. Le burn out, comprendre et vaincre l'épuisement professionnel de Suzanne Peters et Dr Patrick Mesters, pg 87, Edt Marabout, mai 2009, ISBN 978-2-501-05643-4.
    Disponible ici sur Amazon.fr.
  2. Chatteryee, D., "Reaaly leading: leadership that is authentic, conscious, and effectivee by", Business. The Ultimate Resource, New York, Perseus Books Group, 2002, p. 220-223.

jeudi 22 septembre 2011

Un gestionnaire de presse papier pour Windows

Introduction
Dans l'article "Un gestionnaire de presse-papier pour Ubuntu", je présentais les multiples avantages d'un tel outil.
Avantages qui deviennent vraiment très pertinent si le gestionnaire de presse papier utilise également des raccourcis claviers.
Jusque maintenant, je n'avais pas encore trouvé un tel équivalent pour la plateforme Windows (un équivalent sérieux bien entendu).

Au détour d'un article de Thomas Goubin j'ai découvert ClipX.

Site de ClipX

Simple et efficace, ClipX est exactement l'outil que je cherchais et l'équivalent tant espéré de celui que j'utilise sous Ubuntu :-)

ClipX et Windows 7
Si l'outil date un peu, il fonctionne toujours à merveille.
J'ai néanmoins constaté que pour fonctionner correctement sous Windows 7, il faut démarrer le programme en mode Administrateur.

Les raccourcis de ClipX
La définition de ses raccourcis clavier comme le SHIFT+CTRL+V pour invoquer l'historique sont très utiles.
Ces raccourcis sont accessible via le menu contextuel du programme (menu activable depuis l'icone ClipX accessible dans le Tray).

mardi 6 septembre 2011

PowerShell - Un outil d'automatisation pas cher

Qu'est ce que PowerShell
Windows PowerShell, anciennement Microsoft Command Shell (MSH), nom de code Monad, est une interface en ligne de commande et un langage de script développé par Microsoft. Il est inclus dans Windows 7 (y compris la version grand public) et fondé sur la programmation orientée objet (et le framework Microsoft .NET).

À l'origine, il était prévu que PowerShell soit inclus dans Windows Vista, mais finalement les deux logiciels ont été disjoints. Microsoft a publié une version beta le 11 septembre 2005, une Release Candidate 1 le 25 avril 2006 et une Release Candidate 2 le 26 septembre 2006. La version finale a été publiée le 14 novembre 2006. Powershell est également inclus dans Microsoft Exchange Server 2007, sorti au quatrième trimestre 2006, ainsi que la plupart des produits Microsoft sortis depuis.

PowerShell est compatible avec toutes les versions de Windows qui supportent la version 2.0 de .NET.

Depuis le 24 mars 2009, PowerShell 1.0 pour Windows XP et Vista est distribué comme une mise à jour logicielle facultative par le service Windows Update de Microsoft. Il est intégré nativement dans Windows 7 en version 2.01.
Source: Wikipedia

PowerShell un outil d'automatisation
Tout développeur et utilisateur Unix sait fort bien qu'un bon langage de scripting est essentiel, sinon vital, en ce qui concerne l'administration au jour le jour.
Ma société ne disposant pas de gros moyens pour ses investissements informatique (y compris en programmation), je me suis penché sur le PowerShell de Microsoft.
Maintenant disponible en standard avec Windows, sa mise en place et exploitation devient vraiment aisé.

Derrière des concepts orienté objet dans lequel il est nécessaire de faire des investissement, PowerShell se révèle être un outil prodigieux.
Que les Unixiens ne se froissent pas, le shell Unix à enfin son équivalent sous Windows.

A l'heure ou j'écris ces lignes, j'utilise PowerShell pour faire:
  • De la manipulation de fichier (en masse)
  • De la lecture et traitement de fichier XML (sur base du contenu)
  • De la transformation XSL
  • Des lignes de commandes (cmdlet PowerShell).
Je n'en reviens toujours pas des résultats obtenu et l'investissement ne fut vraiment pas si terrible que cela.
PowerShell est donc un outil plus que recommandable.
Voila enfin un outil à la hauteur des administrateurs et des développeurs !

PowerShell GUI
Il faut reconnaître que si PowerShell dispose d'une interface interactive, faire du développement notepad et test en ligne de commande peut vite se révéler pesant.
Il existe un formidable outil appelé PowerGUI (powergui.org) disponible en freeware.
S'il est un peu massif, il rend l'utilisation et le développement des scripts PowerShell beaucoup plus agréable.

Source: blog de Ravikanth Chaganti




Ressources

lundi 29 août 2011

Le format WinMail et WinMail opener

A l'ère des WebMail, il arrive régulièrement que l'on se retrouve avec un fichier dat en attachement.
Ce fichier dat étant supposé contenir un autre e-mail... avec pièce jointe qui vous a été forwardé.

Essayer de sauver le fichier sur le disque pour ensuite l'ouvrir avec un double-click ne mène nulle part... Arrggg, il y contient une facture pdf dont j'ai absolument besoin.

Le format WinMail
Le problème réside dans le fait que le format employé est WinMail, et que ce dernier n'est pas reconnu par l'explorer de Windows.
Si vous ouvrez votre fichier avec notepad (attention à ne pas le modifier), vous pouvez alors apercevoir la chaîne de caractère suivante:
IPM.Microsoft Mail.Note 1

La solution - WinMail opener
Sauver le fichier sur votre disque et utiliser l’astucieux programme WinMail Opener de EOLSoft (logiciel libre) pour allez récupérer le contenu du fichier dat.
Source: WinMail opener
 Le logiciel est également disponible en téléchargement depuis cette page.


jeudi 25 août 2011

Affichage des PNG sous IE5.5 et WinXP

Mais qui utilise encore IE5.5? Et bien toutes les personnes ayant encore une vieille installation de Windows XP.
Forcement, vieille machine, vieille OS... donc vieille version d'Internet explorer.

Il se fait que sur une machine aussi vieille, il est possible d'utiliser des requêtes de type XmlHttpRequest à partir de javascript (via jQuery)... par contre, il n'est pas possible de voir des document pdf en ligne parce que Google Doc Viewer utilise le format PNG.

Seule solution, faire en sorte que Windows XP affiche les PNG.
Il semblerait que toutes les versions de WinXP ne soient pas touchées par le phénomène.
Pour ceux qui on en quand même des difficultés, j'ai trouver un article intéressant ici...

samedi 20 août 2011

Le coût des improductifs

Qu'est ce qu'un improductif?
Le terme "improductif" est souvent utilisé par les employeurs pour désigner ces personnes qui ne rapportent pas directement de l'argent.
Il ne s'agit pas ici de personnes qui font du tire au flan ou font tout leur possible pour en faire le moins possible.
Les improductifs dont-il est question sont plutôt ces secrétaires, ces comptables ou ces gestionnaires (de stock, de clients, etc) qui ne produissent pas à proprement parler.
Ces improductifs n'ont pas l'air aussi affairé que les ouvriers de production qui assemblent, construisent, montent ces machines, appareils et marchandises que l'on retrouvent tôt ou tard dans les rayonnages de magasins. Ces improductifs n'ont pas l'air non plus de ramener de l'argent à la société comme le font les services de ventes (vendeurs, représentants, etc).

Pourquoi cet article sur le cout des improductifs?
Et bien, c'est parce que ce cout des improductifs est souvent utilisé par les employeurs pour mettre en lumière le fait que ces dits "improductifs" coutent chère à la société... et laisse malheureusement le sous entendu "qu'ils ne font pas grand chose pour rapporter de l'argent".
Dans le même ordre d'idée, c'est aussi cet argument des "improductifs" qui est utilisé pour geler les engagements dans certains services alors que l'on se retrouve en pleine période de reprise économique.
Les patrons regardent avant tout à dégager du bénéfice... et donc à limiter les coûts.
L'excuse invoquée de geler les engagements des improductifs tombe a point avec pour conséquence d'augmenter la pression sur ces "services d'improductifs". Et en pleine reprise économique, Dieu sait que la quantité de travail augmente rapidement mais surtout fortement.
Quelle pression sur ces improductifs qui dans certains cas font des Burn-out...

Cet article a aussi faillit s'appeler "la part des improductifs" car il démontrera que les dits "improductif" ne sont pas si improductifs que cela.

Critique de cas pratiques
Cas 1: le service comptabilité
Mon épouse travaille dans le service comptabilité d'une société d'approximativement 600 personnes.
Suite à la petite récession économique de ces quelques dernières années (jsqu'en 2011), la société à décidé de geler les engagements plutôt que d'opter pour une série de licenciement sec.
Maintenant que l'activité économique redémarre, les engagements sont tolérés sous conditions. L'une d'entre elles est, en autre, que cela concerne directement les productifs.
Il est donc possible d'engager (sous conditions) du personnel pour les chaînes de productions, les opérateurs d'approvisionnements, etc.
Par contre, pas question d'engager secrétaire ou personnel dans les autres services tels qu'informatique, service des achats et... la comptabilité.
La société fait fonctionner son service financier avec 8 personnes et un intérimaire (récent) hors management... pour une société de 600 personnes.
La production augmente, donc les achats, les mouvements de stocks, les factures, les documents de douanes, la pression des clients et des fournisseurs. En gros, le processus s'accélère, s'emballe MAIS pas question d'engager un improductif de plus dans le service financier pour supporter l'effort.

L'erreur de jugement:
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, un comptable (ou toute personne d'un service financier) n'est pas un improductif.
Et pour cause, il est un des rouages essentiel de la société.
S'il ne traite ni les factures, ni les paiements suffisament prestement c'est toute la production qui va gripper à un moment ou a un autre.
Si le rythme de production augmente, les documents a traiter augmentent aussi.
Difficile donc de réduire le fonctionnement financier à une charge "improductive".

La conséquence:
Elle est simple, les employés seront de plus en plus débordés... la société accumulera du retard de traitement sur le plan financier... ce qui entrainera des heurts de production voire des situation d'urgence à répétition.
Une fois dans cette situation, les problèmes de santé ne tarderons plus à faire leur apparition.

Pour une plus grande équité:
Pour rendre la situation plus équitable, il ne faudrait pas considérer que le seul service de production représentre 100% de la production.
Il faudrait ventiler le pourcentage de la production sur les divers services dont dépend la bonne marche productive.
Ainsi, a titre d'exemple, l'on pourrait répartir les 100% de la production comme suit:
* 60% pour la chaine de production directe
* 20% pour les services d'envoi/réception
* 7% services informatiques (qui supportent la production)
* 7% services financier (qui supportent aussi la bonne marche)
* 6% pour le restant des services dit "improductif" (comme les secrétaria, HR, etc).

Ainsi donc, il serait possible de considérer des engagements en rapport avec la vraie valeur productive des différents services.

Cas 2: Le gestionnaire de stock
J'ai récemment changé d'orientation professionnelle et suis passé de la programmation informatique à gestionnaire de stock, support informatique et tâches administratives diverses dans le futur.
A ce titre, j'ai eu l'occasion de me rendre compte que mon nouvel emploi était considéré comme une charge brute, de type "improductif" que la société devra absorber.
En effet, il est difficile de voir un quelconque rapport productif dans mon emploi si on le met en balance avec les représentants qui eux démarchent les clients et semblent, eux, rapporter l'argent au bercail.
Si les propos étaient dit sans aucune animosité ni aucune intention de blesser, j'en ai conçu une certaine gêne.
Et pour cause, je pense qu'ici aussi il y a une erreur de jugement notoire.

L'erreur de jugement:
A titre d'exemple, il arrive fréquement que les représentants appellent directement la société pour consulter la disponibilité du stock ou bien encore faire envoyer un fax de commande.
Derrière le fax et le téléphone se trouve donc un employer administratif qui s'efforce de transformer l'information en commmande concrête dans un système informatisé et par la suite à préparer la dite commande pour qu'elle soit envoyée par colis, voire même être préparée pour un dépôt par le représentant.
Dans ce cadre productif, le représentant est-il le seul maillon de la chaîne à produire de l'argent? A votre avis, que se passerait-il s'il n'y avait pas les salariés dit "improductif" derrière les démarches commerciales des représentants? Même l'acte de facturation est essentiel à la survie de la société.
Mais encore, que pourrait bien vendre le représentant si le stock n'est pas correctement achalandé? Quel délai de livraison pourrait-il assurer?
A l'inverse, sans représentant, le carnet de commande resterait probablement bien vide... et la société en préparation d'un futur dépôt de bilan.

Une plus grande équité:
Encore une fois, et comme c'tait le cas avec le comptable, il faudrait envisager une ventilation de l'aspect productif.
Encore une fois, le représentant n'est pas le seul élément productif produisant une plus value dans la société. S'il est le seul à travailler (à produire), l'argent ne rentrera pas dans les caisses.
Ici aussi, il faudrait envisager une ventilation des 100% de la production financière de la société en rapport avec l'importance des différents postes de la chaîne logistique.
* 60% pour le démarchage clientelle
* 20% pour les services d'envoi/réception/tenue de stock.
* 10% Le support de commande et aide techniques (informatique)
* 10% Restant des services dit "improductif" comme la facturation, suivit clientelle, etc. Des services pourtant essentiels.

Conclusion
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il existe des possibilités de valoriser le travail des improductifs.
C'est aussi une façon de reconnaître leur place dans les rouages de la chaîne productive et donc leur réelle nécessité.
Valoriser le travail de l'improductif c'est aussi valoriser l'employer qui s'investit dans son travail.
En effet, réduire un employé au simple rang d'improductif c'est le destituer du résultat de ses efforts mais plus important encore, c'est aussi négliger sa valeur sur le plan humain.
Les hommes ne sont pas des machines, les traiter comme des machines, c'est s'exposer à des problèmes de grippage.